Je me souviens d’une époque pas si lointaine où je voyais plus souvent Tomas Plekanec que ma propre mère.
J’exagère peut-être un peu, mais ce n’est que pour illustrer à quel point la présence de Plekanec dans le vestiaire pour répondre aux questions des journalistes était autrefois un acquis, un automatisme. Il faisait toujours partie de la poignée de joueurs mis à la disposition des médias après les matchs et les séances d’entraînement de l’équipe, bon leader qu’il était.
Pas qu’il ne l’est plus aujourd’hui, mais on le voit tout simplement moins.
Le fait est qu’il semble beaucoup plus effacé qu’auparavant et que c’est probablement dû en partie au fait que son nom apparaît moins souvent qu’à une certaine époque sur la feuille de pointage, et qu’on soit donc moins porté à aller lui parler pour commenter ce qui se passe sur la glace.