Je me souviens très bien de la première fois où j’ai croisé Martin Reway.
C’était en décembre 2015, dans les couloirs du Centre Bell, alors que Reway était en visite dans la ville qui l’avait repêché deux ans plus tôt puisqu’il représentait la Slovaquie dans le cadre du Championnat mondial junior.
Son sourire et sa joie de vivre m’avaient marquée. Il était dans son élément, ça se voyait. Il était entouré de gens qu’il connaissait bien, il était le meilleur joueur de son équipe – et de loin – et était tout simplement heureux de son parcours.